La Pologne n’est pas nécessairement la première scène musicale à laquelle pense l’amateur de jazz lorsqu’il s’agit d’explorer les trésors de ce style né des longues luttes afro-américaines, quelque part dans le delta du Mississipi.
Et pourtant, ça serait passer à côté des merveilles, souvent méconnues, que nous propose ce pays d’adoption d’une scène jazz parmi les plus anciennes d’europe : le premier festival de jazz, le Sopot Jazz Festival, a eu lieu en…1956 !
L’une des grandes richesses de cette scène est de présenter une rare diversité de styles : du big band, au bop, en passant par la fusion et le free. L’autre richesse est l’aptitude des musiciens polonais à intégrer des pans entiers de leur culture populaire dans leurs interprétations. Il faut avouer que jouer du jazz en Pologne à cette époque (fin 50’s – courant 60’s) était perçu comme un acte particulièrement subversif par le pouvoir aux ordres de Moscou : tout ce qui venait des Etats-Unis n’était donc pas forcément le bienvenu !
De cette scène, ressortent quelques grands noms, qui, pour certains, ont largement dépassé les frontières du pays. L’un d’entre eux, le pianiste Krzysztof Komeda, a ainsi composé la bande originale du film « Rosemary’s Baby » de Roman Polanski. Un autre grand nom de la scène polonaise, le vibraphoniste Jerzy Milian, a tracé une voie plus intense et plus originale encore, préfigurant de manière étonnante la scène soul-jazz française des années 70 (cf. le magnifique album Mélodie en Sous-Sol).
Pour preuve : un titre exceptionnel – « Wsrov pampasow » – avec son intro sombre et angoissante, son piano entêtant puis des cuivres aériens et poétiques ; et cette flûte…. A découvrir dans la Chongastyle’s Radio avec le groovy « Five, four, three » des Novi Singers.
Jean dit :Je fais la meame obadseradvaadtion. Des peadtits chamadpiadgnons sont apadpaadrus en quanadtite9 le0 of9 j’ai mis du BRF : au pied d’un jeune fiadguier et sur mes plates-bandes de framadboiadsiers. BRF + chamadpiadgnons = proadmesse d’humus et joie du jrdianier. Comme je ne raadmasse pas touadjours l’herbe tonaddue, des peadtits chamadpiadgnons aux pieds minces et aux chaadpeaux poinadtus poussent dans ma peadlouse, peut-eatre des mousadseadrons coadmesadtibles. Les connaisadsant mal, je n’ose pas les manadger. Par contre, j’ai mange9 les coadprins cheadveadlus faadcile e0 reconnaeetre. Au mois de mars, je mange les pisadsenadlits de ma peadlouse, ceux qui sont un peu friadse9s. Ils sont un peu durs — noradmal pour des pisadsenadlits — et ont une ameradtume de9adliadcieuse. On se re9gale… Dans mon viladlage des Yveadlines, cette anadne9e, en noadvembre, re9adcolte me9admoadrable en quanadtite9 et quaadlite9 de ce8pes de Boraddeaux et aussi de roadse9s des pre9s. On n’avait jaadmais vu e7a. Excellents.